Le guide du combat singulier (1v1)

Par Ancelin de Caplong
Champion de son Altesse Palladina, Princesse de Suzail
Commandant des Marcheurs de l’Ombre (Unité d’élite de son Altesse Palladina, Princesse de Suzail.)

Ah mes amis ! qu’il fut bon tantôt de croiser le fer avec certains d’entres vous en notre belle Ambassade de Cormyr #Vous entendez résonner dans votre tête le rire sonore, franc et clair d’Ancelin# Je m’excuse auprès de ceux qui m’aurait trouvé un peu inconvenant, mais j’étais sous les effets de la bière de nain et Oliver Squale n’a pas manqué de me sermonner par la suite avec de longues diatribes dont il a le secret.
Mais par la barbe du Roy des nains, j’en profite pour vous transmettre les règles officielles des combats singuliers et me tiens à la disposition de tous pour des joutes qui chez moi n’ont rien de verbales ! Et ça par Balthazar, je le jure sur les tripes fumantes du Dolyak que je m’apprête à dépecer !

Le guide du combat singulier (1v1) :

La Loyale :
Il est officiel et se déroule avec au moins un témoin pour chaque adversaire. L’annonce de la victoire ou de la défaite doit être publique. (c'est-à-dire quelle doit être annoncée sur tous les canaux de communication de Guild Wars)
C’est le combat singulier des Champions. Le Champion par tradition est toujours un Guerrier, il est chargé de combattre au nom de son suzerain (si celui-ci ne veut le faire lui-même) pour défendre son honneur, laver un affront ou acquérir une vérité (La victoire fait office de jugement).
Il se déroule toujours à l’épée et en trois manches : la partie, la revanche et s’il y’a lieu la belle. Chaque participant peut changer de liste de sorts et d’armure une seule fois entre deux manches. Il à par contre le droit de changer d’épée en cours de combat.
Il est interdit de rompre : Le combat se fait face à face jusqu’à ce que l’un des deux adversaires soit terrassé (si un des deux adversaires recule, il est éliminé.)
Le combat est déclaré nul si aucun des deux adversaires n’est vaincu au bout de 7 minutes (ce temps peut être modifié à la demande des duellistes après validations des témoins). Les adversaires ont alors le droit de changer leurs sorts et leurs armures et de recommencer une fois. Si ce combat ce solde une nouvelle fois par un nul les combattants seront officiellement déclaré ex aequo.

Le Duel :
Ce combat reprend toutes les règles de La Loyale mais il est amical.
De ce fait, il peut se passer de témoins et aucune annonce de l’issue n’est exigée.
Il est ouvert à toutes les classes, si elles en respectent les règles.

La Rixe :
Ce combat oppose deux adversaires (toutes classes confondues) en un combat ou tous les coups sont permis. Seule contrainte, il faut rester dans l’enceinte de l’arène.

Ah ça mais ! j'écris... j'écris et le temps passe ! Je dois y aller ! je compléterais plus tard... La chair de mon dolyack refroidie ! Toutes vos suggestions en termes de rencontres sont les bienvenues, d’autant qu’il existe d’autres formes d’affrontements comme par exemples « les joutes du bison » Ou un champion de guilde affronte les huit autres combattants d’une guilde adverse, toutes classes confondues... du délire ! AH ! AH ! AH !

Ah ! kil fut bon de combattre contre tous ses jeunes guerriers ! songeait Ancelin…

Cela l’avait plongé dans le passé, en Cormyr, quand il combattait, à vingt ans, contre des chevaliers venus des quatre horizons.

Mais aujourd’hui à 47 ans il sentait bien que, non pas tant sa force que sa conviction était un peu émoussée.

Les propos de Duncan Idah, le maître d’arme de la cour de Suzail, lui revenait en tête :

"Tu as du talent Ancelin, alors travaille ! Travaille deux fois plus ke les autres, car ta marge de progression est infinie. Celui qui est dénué de talent aura beau travailler toute une vie, il ne restera qu’un bon, un très bon disciple mais un disciple tout de même."

Aujourd’hui Ancelin ne travaillait plus… Il passait plus de temps dans les tavernes et auprès de créatures fantasques dont il partageait la couche ke dans la salle d’arme ! Ses armures dataient de la première invasion Charr et ses armes étaient de petites factures. Face à ses Guerriers superbement armés et vêtus, il sentait bien qu’il ne devait ses chances de victoires qu’à de vieux réflexes profondément ancrés en lui. Sans Parler de la rixe qu’il maitrisait mal ! Ce maître d’arme, ce rôdeur… Vif … quelke chose… Lui avait donné une bonne leçon ! Ke vaudrait il aujourd’hui en arène d’équipe ? mais Vif lui était sympathique, malgré son style emprunté, un style qui caractérisait bien les Eagles, engoncés dans une discipline et un protocole de rigueur. Ouais ! ce Vif, allait peut être lui redonner le goût du combat en « rixe » qui caractérise si bien les arènes… Il faudra ke je m’entraîne avec lui songea Ancelin…[/size

Voici une autre forme de duel Cormyrien, qui devrait plaire à Vif, chez nous les rôdeurs et les élémentalistes en rafolent.... #hum... Chacun ses gouts"

"L'ensorcelade"

Obligatoirement à distance, on peut se déplacer mais il est interdit de fuir.

Si mes souvenirs sont bon... la charmante compagne de Sire Kaël, Siyah Yildiz adorait ce type de défi !

(suite à plusieurs demandes je m'explique plus précisément sur le déroulement du duel à la loyale, je me suis en fait mal exprimé.)

A la Loyale : le duel se déroule en 3 combats de trois manches chacun (1 combat = 3 manches : la partie, la revanche et la belle si il y a lieu, puisque le vainqueur est celui qui a gagné 2 combats. Au final il y-a donc 2 ou 3 combats de 2 ou 3 manches chacun.

Dans le Duel : On choisi généralement de se limiter à 1 combat de 2 ou 3 manches, quitte à se retrouver une autre fois pour une revanche. Par contre accepter un combat c'est accepter d'aller au bout des 2 ou 3 manches. (On peut aussi chosir de faire un duel "à la mode Loyale" et le jouer en trois combats, mais il faut s'y tenir.)

Pour les changements d'armures, à la Loyale ils se font (éventuellement) entre les combats en duel entre les manches si les protagonistes l'ont au préalablement décidé.